Le capitaine du FCG, Jonathan Wisniewski, revient sur les difficultés actuelles du club.
Le début de saison du FCG
« On a six points, on est derniers, on fait un début de saison catastrophique. Il y a tous les petits détails qui ne veulent pas tourner, est-ce qu’on fait tout aussi pour qu’ils tournent en notre faveur ? Il y a eu des petites erreurs qu’on a tous fait individuellement. Staff, joueurs, on est tous dans la même aventure. On a eu des explications, des discussions, on a mis des choses à plat, on a changé des choses et aujourd’hui les joueurs sont le cœur du projet et on a envie de s’y investir au maximum. On se dit qu’à un moment donné, ça ne peut pas tourner que contre nous. »
La défense du FCG
« On est train de faire un gros cycle de défense. Il y a eu du mieux à Toulouse même si ce n’est pas le top du top. À nous de continuer à progresser, pour que ce secteur devienne le plus performant possible. Notre système est bon en attaque, on est capables de faire de bonnes choses et de marquer. En défense, à nous de faire basculer la chose. »
Le maintien du FCG
« La seule chose qui m’importe, c’est le soutien de ma famille, de mes proches, des gens qui viennent au stade et qui croient en nous et ceux qui ont envie de se battre pour ce projet, ce club, pour faire un bel exploit. Oui, maintenant c’est un exploit qu’il faut faire, mais je suis persuadé qu’on n’est pas passés d’une équipe qui faisait des belles choses l’an dernier à une équipe qui n’est plus capable de faire deux passes. Maintenant, il faut enclencher une dynamique. Parfois il suffit d’un match, d’un déclic… À un moment donné, si nous on n’y croit pas, personne ne peut y croire pour nous. La meilleure chose qu’on a à faire c’est de s’investir à fond et donner le maximum. Il reste de la place. »
Le prochain match du FCG
« Avec Bayonne, on est dans la même situation. Ce match va compter double, encore plus pour nous parce qu’on reçoit. À nous de trouver du positif, de faire le meilleur match possible samedi en ne regrettant rien à la fin. Ce match est capital pour nous car il nous permettrait de quitter cette dernière place. Il nous libèrerait un peu de cette tension et enverrait ce gros stress de cette place sur Bayonne. On ne serait pas sauvés mais au moins on reviendrait à quelques points des premiers non relégables. En termes d’oxygène, ça permettrait de faire du bien aux têtes, de se retrouver avec le sourire dans le vestiaire. Ce serait quelque chose de très agréable aussi. »
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Auteur : FCG Rugby